SPIELACT
L’écologie de l’imaginaire fonctionne comme une conférence-performance d’anticipation suivie d'un apéro-workshop.
Nous sommes en 2072. Les archives sonores et visuelles des années 20 – celles de l’époque que nous vivons- constituent le matériau de cette balade virtuelle dirigée par des intelligences artificielles. Un jeu avec le temps pour réfléchir sur notre présent.
Daniel Maszkowicz
L’écologie de l’imaginaire fonctionne comme une conférence-performance d’anticipation suivie d'un apéro-workshop.
Nous sommes en 2072. Les archives sonores et visuelles des années 20 – celles de l’époque que nous vivons- constituent le matériau de cette balade virtuelle dirigée par des intelligences artificielles. Un jeu avec le temps pour réfléchir sur notre présent.
Daniel Maszkowicz
5ème Edition 28.06 - 16.07.23
Simon Deppieraz
Kaleido
Kaleido est formés de quatorze miroirs coniques contigus qui s’entrecroisent. La sculpture, d’une dimension humaine, permet au spectateur de s’immerger et voir l’espace environnant multiplié en d’innombrables reflets. Cette sculpture déconstruit tout image qui s’y reflète. Elle fonctionne comme une machine à images, jouant entre l’espace extérieur et intérieur. Kaleido possède un nombre fini d’éléments mais autorise un nombre infini de combinaisons selon les mouvements des spectateurs et son environnement.
Simon Deppierraz
Simon Deppierraz vit et travaille à Lausanne.
De 2004-2008 : Bachelor en Arts visuels de l’Ecal; en 2010, participation à l’European Art Ensemble (Master Ecal). Résidences à Berlin en 2009, résidence à Gènes en 2015, Conférence des Villes en matière culturelle et Fondation Boghossian à Brxuelles en 2019. Récipiendaire 2013 du Prix de la Fondation Irène Reymond. Ses œuvres ont été exposées en de nombreux endroits en Suisse et à l’étranger en Allemagne, en Grande Bretagne, en Belgique, en Géorgie et au Kirghizistan (Musée des Beaux-Arts de Bishkek).
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